Selon une étude d'un cabinet de conseil, le numérique doit permettre à l'entreprise de [1]
- "réduire les coûts
- modifier les relations client fournisseur
- accélérer la mise à disposition de services technologiques
- changer le modèle économique de l'entreprise
- "réduire les coûts
- modifier les relations client fournisseur
- accélérer la mise à disposition de services technologiques
- changer le modèle économique de l'entreprise
- rendre transparente la gestion de l'entreprise".
Dès lors :
pour un éditeur logiciel
- réduire les coûts de développement logiciel
- modifier les relations éditeurs/utilisateurs
- accélérer la mise à disposition des fonctionnalités aux clients/utilisateurs
- changer le modèle économique du logiciel
- rendre transparente la chaîne de développement logiciel
Mais transposée à un prestataire de conseil pour entreprises, cette liste donne une vision en rupture
- réduire les coûts de production des prestations (basés sur l'homme jour)
- modifier les relations consultants / consultés
- accélérer la mise à disposition des connaissances, pratiques et savoir-faire
- changer le modèle économique du conseil
- rendre transparente la chaîne de production de connaissances, pratiques et savoir-faire
Pour évoquer cette vision, nous oserons la formule "Open Savoir-Faire" [2] dont nous avançons à partir de notre expérience propre [3] la définition suivante [4]:
un ensemble d’informations pratiques non brevetées, résultant de l’expérience et testées, qui est :
Note : "L'Open savoir-faire, une innovation de l'entreprise numérique", par Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Echos, 23/12/2011
Pour évoquer cette vision, nous oserons la formule "Open Savoir-Faire" [2] dont nous avançons à partir de notre expérience propre [3] la définition suivante [4]:
un ensemble d’informations pratiques non brevetées, résultant de l’expérience et testées, qui est :
- Substantiel, c’est-à-dire important et utile pour la production des résultats,
- Identifié, c’est-à-dire décrit d’une façon suffisamment complète pour permettre de vérifier qu’il remplit les conditions de substantialité,
- Accessible, c'est-à-dire que l'accès à ce savoir faire n'est pas conditionné à une quelconque appartenance sociale,
- Accompagné, c’est-à-dire que l'appréhension de ce savoir-faire est facilité par des échanges directs entre l'aspirant exploitant et un détenteur de ce savoir-faire,
- Délocalisé, c'est-à-dire accessible via internet.
Note : "L'Open savoir-faire, une innovation de l'entreprise numérique", par Tru Dô-Khac, Le Cercle Les Echos, 23/12/2011
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[1] Adaptation d'une liste figurant dans une étude de KPMG. Source : InfoDSI 8 décembre 2011, "Une étude KPMG Les DSI plébiscitent le cloud" [2] "Open Savoir Faire" est le titre d'un article portant sur l'Open Source et publié en septembre 2009 sur Swiss Engineering, rédacteur Roland Keller.
[3] Consultant, nous avons décidé de donner un large et libre accès à notre savoir-faire mais qui n'emporte pas la libre utilisation des formulations originales portant droit d'auteur :
- plateformes d'intelligence collective thématiques Open RSE
- enquêtes collaboratives Open Survey
- Open Innovation & Open Savoir-Faire sur LinkedIn (nos Best of discussions sur Linkedin)
- Quantum of Thoughts Matinaux (réponses argumentées à des articles publiés sur des supports ouverts aux commentaires)
[4] Définition proposée par le Cahier des Clauses Administratives Générales applicables aux marchés publics de prestations intellectuelles 2009.
Un « savoir-faire » étant un ensemble d’informations pratiques non brevetées, résultant de l’expérience et testées, qui est :
- Secret, c’est-à-dire qu’il n’est pas généralement connu ou facilement accessible ;
- Substantiel, c’est-à-dire important et utile pour la production des résultats ; et
- Identifié, c’est-à-dire décrit d’une façon suffisamment complète pour permettre de vérifier qu’il remplit les conditions de secret et de substantialité.